Nos portraits
Les membres de notre communauté étudiante, des personnels, des alumni, font la force de Sorbonne Université. Découvrez leurs portraits !
Ève Planeix
Nageuse artistique de haut niveau et étudiante en psychomotricité
Faire les Jeux à la maison, avec le public français, reste le summum d’une carrière !
Lina Sami
Prix du public de la finale Ma Thèse en 180 secondes de Sorbonne Université
Ce concours brise les stéréotypes du savant fou qui travaille seul dans son laboratoire et peut inspirer des étudiantes et étudiants à poursuivre en doctorat.
Rebecca Churamani
Prix du jury à Ma thèse en 180 secondes et doctorante en chimie
Le soir de l’événement, il y avait une grande cohésion d’équipe
Gérard Biau
Directeur de SCAI et professeur de statistique à Sorbonne Université
Quatre ans après le lancement de SCAI nous pouvons déjà regarder le parcours accompli par l’institut avec fierté, car d’un pari il est devenu une réussite : il est aujourd’hui un acteur visible de Sorbonne Université.
Alice Recher
Escrimeuse de haut-niveau et étudiante en histoire de l'art
Encore taboue, la santé mentale est pourtant aussi sinon plus importante que la santé physique.
Isabelle Arnulf
L'attrape-rêves
Je voulais décrire le vivant en filmant les dormeurs, en analysant leurs mouvements, puis en décodant leurs paroles et leurs mimiques émotionnelles... comme une sorte d'éthologie. Cela n’avait jamais été fait avant.
Mélanie Ephrème
Doctorante en histoire de la chimie et en humanités numériques
La thèse est un moment de liberté intellectuelle : c'est le temps d’explorer les thématiques choisies et de suivre le chemin indiqué par les données, de se confronter à ses propres hypothèses et de les exposer à la communauté scientifique
Raphaël Guttières
Coordinateur scientifique de l'Institut de transition environnementale
Le projet de plateforme me permet de réaliser mon ambition première : celle de pouvoir agir sur les causes de problème via la formation, l'éducation des consciences
Carla Robison
Doctorante en littérature comparée
Ma thèse interroge la littérature comme lieu de construction et de déconstruction des représentations sociales de l’avortement, et comme support de diffusion d’un savoir sur ces pratiques.